- Kaito, faut pas s'imaginer des trucs bizarres... J'vais tout t'expliquer... Me dit la jeune fille, d'un air mystérieux.

Elle l'avait dit juste qu'à Piko ait dit aussi qu'il pouvait m'expliquer la situation. Mais il resta dans le lit, cachant son torse, nu, derrière la couverture. Puis, la fille chuchota quelque chose à Piko. J'aimais de moins en moins cette situation. Finalement, elle se leva pour venir fermer la porte, et me faire asseoir sur une chaise. De quel droit elle s'autorisait de me forcé a m'asseoir d'ailleurs ? Si je l'avais laissé faire, c'est uniquement parce que je ne m'y attendais pas.
Je croisais les bras et les jambes, le sac contenant la peluche chaton pour Piko était toujours dans ma main.

- Vous avez intérêt a avoir de bonne explication.

Voir cette fille ressemble à Miku, c'était perturbant, mais ça ne me ferra pas flancher facilement. Elle avait osé poser la main sur Piko, je n'allais pas laisser passer cela facilement. Par contre, Piko n'avait pas eu vraiment l'air de se défendre beaucoup, sinon elle n'aurait pas été sous les draps avec lui. Piko était en couple avec moi, personne n'avait le droit de le câliner ou autre à part MOI.
Il y avait une étrange odeur de chocolat qui flottait dans l'air, je me demande d'où cela venait. Mais je préférais ne pas y faire attention, ce qui m’intéressait, c'était de savoir ce qu'ils foutaient tout les deux dans le même lit.

- Vous avez intérêt a avoir de bonne explication.

Piko était mort de trouille. Le pauvre.

- Ecoute moi bien, avant de t'énerver, je n'ai rien fait de louche à Piko. Je l'ai blesser involontairement dehors, et comme il a une peur phobique du sang, je l'ai ramené ici pour qu'on s'occupe de lui. J'étais fatiguée, alors je me suis allongée. Il faisait un peu froid, et j'ai mis la couverture. Rien de plus! Par contre, je ne sais pas du tout pourquoi il n'a plus de haut... Il faut que je demande aux pharmaciens...

Je regardait ensuite Piko. Il était tout pâle.

- Kaito, regarde ça.

Je pris très doucement le bras blessé de Piko, pour lui montrer le bandage.

- Maintenant, que tu me croie, ou pas, c'est la pure vérité. dis-je d'un air très sérieux

- Ecoute moi bien, avant de t'énerver, je n'ai rien fait de louche à Piko. Je l'ai blesser involontairement dehors, et comme il a une peur phobique du sang, je l'ai ramené ici pour qu'on s'occupe de lui. J'étais fatiguée, alors je me suis allongée. Il faisait un peu froid, et j'ai mis la couverture. Rien de plus! Par contre, je ne sais pas du tout pourquoi il n'a plus de haut... Il faut que je demande aux pharmaciens...
Kaito n'avait pas l'air de la croire, se qu'elle disait etait sans doute vrais, mais elle expliquait pas la raison a pourquoi elle me calinait. Je n'ai jamais vu Kaito enervé et beaucoup de gens disent que je veut pas savoir, sa me troublait et mon coeur se serré, j'ai posé ma main sur mon cou, et j'ai gratté, en regardant le sol, rouge comme je ne sais quoi, j'ai relevé la tête.
"De-desoler." J'ai dit en posant ma main sur ma joue, essayant de cacher ma tete avec ma frange. Puis j'ai vu qu'il avait dans un sac en plastique la peluche que je voulais depuis super longtemps. J'avais de plus en plus mal au coeur et je voulais pas etre la, je voulais partir. Mais je ne bougeais pas, Je versais une larme. C'est vraiment pas le momment de pleurer, faut que je sois mature comme meme. Nya, je suis bloqué.
"Kaito regarde sa." Elle a dit en prenant mon bras et en montrant ma blessure.
"Nyaah!" J'ai dit quand elle m'a pris le bras.
"Maintenant, que tu me crois ou pas, c'est la pur verité." Elle a changé son air, il etait mysterieux
J'ai mis le draps autour de moi car j'avais froid, j'etait pale de peur et aussi de froid. Je ressemblais a un vampire.

J'écoutais "Miku" parler, mais ce qu'elle disait n'expliquait pas tous. Elle n'était pas au courant que Piko sortait avec moi ? Et que par conséquent, elle n'avait pas à être dans le même lit que lui, quelque soit la raison ? Et puis, elle croyait vraiment qu'avait qu'elle n'explique j'étais calme ? au contraire, j'étais comme un volcan près à se réveiller.
Je regardais Piko, il se grattait le coup, en regardant par terre. Puis il releva la tête.

- Dé-désoler , a-t-il dit en posant sa main sur sa joue.

Je venais à peine de voir qu'il versait une larme lorsque, "Miku" pris le bras de Piko, mais elle lui fit mal. Ce que je ne supportait pas, après qu'on essaie de toucher à certaine personne, c'était qu'on leur fasse mal, quelque soit le type de douleur.

- Maintenant, que tu me croie, ou pas, c'est la pure vérité. Dit-elle d'un air sérieux.

Je ne la croyais pas plus. Son style vestimentaire ne me faisait pas confiance, certes il faisait chaud aujourd'hui, mais elle était tout de même en mini jupe. Qui me dit qu'elle ne voulait pas mettre la main sur Piko pour l'avoir pour elle ?
Piko enroula la couverture autour de lui, vu qu'il était torse nu, il devait avoir froid. Je cherchais du regard son t-shirt, il devait bien être dans cette pièce. Je le vis enfin sur la table qui était à coté de moi, près qu'une boite qui devait renfermer une pâtisserie ou un gâteau, sans doute au chocolat, vu l'odeur qui s'en dégageait. Je pris le vêtement et le tendis à Piko.

- Si tu remettais ça sur le dos, t'aurais moins froid.

Mon ton aussi était plutôt froid, je ne l'avais jamais été avec Piko, pas une seule fois depuis que je le connais. J'avais l'impression de devenir comme Akaito.

- Dé-désolé Piko commençait à pleurer. J'étais hyper frustrée. Quand je lui pris son bras, il commença à dire un "Nyaah!!". Mince! J'lui ai encore fait mal! Pourtant, j'ai voulue être douce

- E-excuse-moi! dis-je d'un air désolée, presque triste, en reposant son bras.

Kaito retrouva le haut de Piko. J'étais assez contente qu'il puisse ravoir chaud.

- Si tu remettais ça sur le dos, t'aurais moins froid. rétorqua froidement Kaito.

Je commençait à regretter d'avoir été fatiguée. Maintenant, on a des ennuis. J'ai pris un air triste. J'étais vraiment désolée. Piko avait maintenant son haut. Je le rallongeait très doucement.

- Repose toi, tu en a besoin... dis-je à Piko, pâle. J'avais failli verser une larme. Mais ce n'étais pas suffisant pour me faire craquer. Kaito commençait à fixer le gâteau.

- C'est Piko qui te l'as acheté pour toi. Il avait très faim, et pourtant, il te l'a comme même laissé...

Je fixais ensuite Kaito.

- Dis moi, qu'est-ce qui te fait douter de ma crédibilité... Kaito?

" E-excuse-moi!" Dit Zatsune d'un air désoler, j'ai reposé mon bras sur le lit, en soupirant, je me suis allongé après avoir entouré le draps autour de moi, j'ai regardé en haut.
Kaito regardait de partout dans la pièce, il cherchait quelquechose je pense, il a pris mon t-shirt, et me la lancé:
"Si tu remettais ça sur le dos, t'aurais moins froid." Dit-il avec un air froid, j'aimais pas sa, c'était bizarre. Il avait l'air complétement different. Je l'ai vite enfilé en essayant de pas touché mon bras. Zatsune me poussait doucement pour me rallonger sur le lit :
"Repose toi, tu en a besoin..." Me dit-elle, j'ai fermé les yeux, et j'ai encore soupiré tristement. Je me sentais complétement inutile, et je voulais pas empiré les choses, alors j'ai décidé ne rien dire. J'ai regardé le mur, puis j'ai retourné la tête pour regardé Kaito.
"C'est Piko qui te l'as acheté pour toi. Il avait très faim, et pourtant, il te l'a comme même laissé..." Dit-elle en fixant Kaito, je sentais tellement l'enervement entre les deux personnes a côté de moi. Je me suis mis sur le ventre et j'ai mis la tête sur mon cousin.
" Dis moi, qu'est-ce qui te fait douter de ma crédibilité... Kaito?"

- E-excuse-moi! dit la fille aux cheveux noirs, avec un air presque triste.

Cette fille, on dirait une gotique au pays des bisounours, deux choses qui n'allaient vraiment pas ensemble. Elle reposa le bras de Piko. Il remit son t-shirt lorsque je lui redis. "Miku" rallongea Piko sur le lit, et il se laissa faire. Non mais je rêve, cette situation commençait à m'exaspéré.

- C'est Piko qui te l'as acheté pour toi. Il avait très faim, et pourtant, il te l'a comme même laissé...

De quoi parlait-elle ? du gâteau ou je ne sais quoi qu'il y avait dans la boite ?

- Qu'est ce que j'en ai à faire de ce gâteau ?

C'est vrai, j'en avais vraiment rien à faire que ça soit pour moi. Ce n'était pas le moment d'essayer de détourné le problème. Elle me fixa, j'avais horreur qu'on me fixe comme elle le faisait.

- Dis moi, qu'est-ce qui te fait douter de ma crédibilité... Kaito ?

Ce n'était pas assez évidement pour elle ? Tout le monde savait que je sortais avec Piko. Et elle pensait peut être que j'allais saut au plafond quand je les ai vu tout les deux dans le même lit, à moitié en train de se faire des câlins et Piko torse nu ? Je savais aussi pour sa phobie du sang, et ce depuis longtemps, avant que l'on ne décide de ce mettre "en couple".

- Tu devrais plus réfléchir aux conséquences de tes actes.

Je n'étais toujours pas calmé, c'était même de pire en pire. Et Piko ne disait plus rien, à vrai dire, dans un sens, je comprenais, jamais il ne m'avait vu être froid avec qui que se soit. Je suis quelqu'un de gentil en général, mais il y a des choses qu'il ne faut vraiment pas faire.

L'ambiance était tendue, et je n'aimais pas ça...

- Qu'est ce que j'en ai à faire de ce gâteau ?

Là, il avait cherché la démone qui étais en moi. Je serais mes dents, et je cachait mes yeux avec ma frange. Je commençait à lever ma main, serrée. Je voulais vraiment le frapper, sans pitié. Mais je me calmais, et reposa ma main sur le lit, griffant le drap. Le drap était maintenant troué.

- Dis moi, qu'est-ce qui te fait douter de ma crédibilité... Kaito ?

- Tu devrais plus réfléchir aux conséquences de tes actes.

- Tu n'as pas de preuves que j'ai fait quoi que ce soit, que je me souvienne.

J'étais dégoûtée de Kaito. J'étais pourtant sûr qu'il étais très gentil. Je laissais tomber mon corps sur le lit. Je mis mes mains derrière ma tête. Une mes jambes était pliée, l'autre par-dessus, croisée. Je commençait à fermer mes yeux.

Sortais moi de là, sortais moi de là, sortais moi de là...
Je répété cette phrase dans ma tête, 5 fois, 6 fois... Les mots de Kaito et de Zatsune résonnait, ma vue commençait à déliré et je pouvais rien sortir de ma bouche. Je ne bougeais pas, mon corps aussi glacial que jamais, ma bouche entre ouverte, et mes yeux a moitié fermés. Je me demandais se que j'allais faire dans se bordel.
"Qu'est ce que j'en ai à faire de ce gâteau ?" Kaito a dit, J'ai soupiré doucement.
"Dis moi, qu'est-ce qui te fait douter de ma crédibilité... Kaito ? " Zatsune a répondu.
" Tu devrais plus réfléchir aux conséquences de tes actes."
"Tu n'as pas de preuves que j'ai fait quoi que ce soit, que je me souvienne. "
Je restait immobile dans le lit, en les regardants d'un air... un air de rien, on pourrait dire. J'ai fixé ensuite la peluche qui était dans le sac plastique, j'ai souris, Kaito me l'avait acheté pour moi. J'était content, mais j'ai perdu vite le sourire quand j'ai vu les deux tellement enervé, avant, Zatsune avait sa main serré, quand elle se leva du lit. Puis les deux se parlé méchament, et continué comme sa. Leurs airs menaçant me faisait frissoné encore, et encore jusqu'à me donner la chair de poule. J'ai chuchoté quelques mots, mais on ne m'entendais pas. Après Zatsune c'était mis a coté de moi, puis c'est allongé, pliant une jambe, avec l'autre croisé par dessus. Je l'a regardé, puis elle a fermé ses yeux, j'ai ensuite posé mon regard sur Kaito.

Elle leva la main, le poing serré, elle voulait me frapper ? Mais qu'elle essaie, elle y perdra plus qu'elle n'y gagnera. Et ce n'est pas parce que c'est une fille que j'hésiterais à en faire autant envers elle. Finalement, c'est le drap qui prit cher. C'était à se demander qui était le plus énervé.

- Tu n'as pas de preuves que j'ai fait quoi que ce soit, que je me souvienne. Répliqua-t-elle.

Pas de preuve ? Je sais très bien ce que j'ai vu, et ça me suffisait pour avoir des doutes. Elle s'allongea sur le lit, à coté de Piko, les jambes plier et croisé. Elle me provoque c'est ça ? Et après elle s'étonne que je ne lui fasse pas confiance ?

- J'en vois suffisamment assez pour me faire une idée. Et que je sache, tu ne me donnes pas vraiment de preuve non plus que rien ne c'est passé.

Je voyais bien que Piko n'était pas bien, mais j'étais dans un tel état d'énervement que je ne pouvais même pas me résoudre à le prendre dans mes bras pour le consolé, et lui offrir cette peluche qu'il voulait tant.
Je me mis à sourire, mais ce n'était pas celui que j'avais d'habitude. Non, ce n'était pas le sourire aimable, "d'ange" qui me caractérisait.

- Mais va s'y te génes surtout pas, continue de faire comme si je n'étais pas là.. Rajoutais-je d'un ton sarcastique.

Si on continuait dans cette voie, on irait de mal en pire.

- J'en vois suffisamment assez pour me faire une idée. Et que je sache, tu ne me donnes pas vraiment de preuve non plus que rien ne c'est passé.

Je souriais. Pas de joie. Je ne sais même pas de quoi. D'ironie, sûrement.

- Tant qu'on ne l'as pas vu soi même, on aura à jamais des doutes... chuchotais-je, tout en gardant les yeux fermés.

- Mais vas-y te gènes surtout pas, continue de faire comme si je n'étais pas là... rétorqua Kaito.

Il y eût tout à coup un blanc. Je n'aimais pas ça. Je murmurais ensuite :

- Je veux juste... Que tout ce rétablisse...

Le petit Piko était pétrifié. Le moins à l'aise, c'était lui. Je me levais ensuite. Il y'avait une petite fenêtre près de la chaise. Elle n'était pas très haute. En ouvrant la fenêtre, il y avait une petite partie de verdure.

- Je pense que vous vous connaissez, je vous laisse un moment...

J'ouvrit ensuite la fenêtre, monta dessus et sauta pour arriver dans l'autre côté. Je refermais ensuite la fenêtre. On attendait un peu la conversation, même fermée. Je m’asseyais ensuite sur la pelouse, et chantais des chansons d'amour ou d'amitié.

Rah, sa m'énervait d'être inutile dans la conversation bloqué dans le lit, entrain de rien foutre, voyant le pire se passait et a continué, sans que je fasse un simple geste, ou dire quelquechose.
"Tant qu'on ne l'as pas vu soi même, on aura à jamais des doutes... " Dit Zatsune en chuchotant avec les yeux toujours fermé

"Mais vas-y te gènes surtout pas, continue de faire comme si je n'étais pas là... " Kaito a répondu, puis il y a eu 2-3 minutes de silence, avant que Zatsune chuchote quelques mots, puis est partie par la fenêtre de la pharmacie, attendant dehors.
Je sera le cousin avec ma main, pendant que je regardais Kaito, je ne savais pas quoi dire, et j'attendais sa réaction, es-qu'il allait rompre? Je voulais tout sauf sa, je préférais qu'il m'insulte de tout les noms possible ou que on me frappe, je préférais sa, mais je voulais surtout pas que Kaito dit que l'on arrête de sortir ensemble.
Je serrai de plus en plus le cousin qui était sous ma tête. Je pensais que c'était bon, c'était fini entre nous deux, alors je tremblais et j'ai dit :
"J-je suis d-désoler." J'ai mordu ma lèvres, puis j'ai essayé de m'empêcher de pleuré, mais sa ne marché pas, les larmes coulaient, j'était triste car j'avais peur de perdre la personne que j'aimais le plus.

- Tant qu'on ne l'as pas vu soi même, on aura à jamais des doutes...

C'est sûr, mais il faut dire aussi que depuis que j'étais entré dans la pièce, elle n'avait rien fait pour arrangé les choses. il y eut un moment de silence.

- Je veux juste... Que tout ce rétablisse...

Rétablir quoi ? il n'y avait rien à rétablir, du moins, pas entre elle et moi. Elle se leva pour aller vers la fenêtre, elle l'ouvrit et sortie par la. Cette fille est vraiment bizarre.
J'étais maintenant seul avec Piko, je ne savais plus quoi faire. J'avais du lui faire un peu peur, j'étais très rarement comme ça. Je respirais profondément, pour tenter de me calmer. Je voyais Piko serré le coussin qu'il avait sous la tête.

- J-je suis d-désoler.

Il avait la voix qui tremblait. C'était normal après tout, et puis ... il devait avoir peur que tous soit fini entre nous. Je ne voulais pas qu'on rompe, c'était l'une des personnes que j'aimais le plus, avec Akaito. Mais ... je voulais être sûr qu'il ne s'était rien passé. Je me levais et me rassis sur le lit, près de Piko. Je commençais à lui caresser les cheveux, ses beaux cheveux blancs.

- Raconte moi, toi, ce qu'il s'est passé ... s'il te plait

J'avais besoin d'entendre sa version, ça m'aiderait sûrement à y voir plus clair dans cette histoire.

-J-je suis d-désolé...

Kaito n'avait donc rien contre Piko. J'étais soulagée. Mais triste, très triste... Je venais de me faire un ennemi involontairement... Je voudrais tant qu'il me pardonne... Je n'ai pas la bonne manière pour rendre les gens heureux? J'en étais dégoutée. Je mis ma tête dans mes bras. Je chantais ensuite "from Y to Y", une chanson d'amour triste où deux personnes se séparent. Pour moi, c'était la même chose, version amicale... J'entendis ensuite des pas, puis enfin les ressorts du lit. Quelqu'un s'était allongé? Kaito? J'entendis ensuite quelques paroles :

-Raconte-moi,toi, ce qu'il c'est passé... s'il te plait...

Il ne me faisait nullement confiance... Je savais que je n'étais ni convaincante, ni crédible, mais j'avais un minimum de respect. Piko lui dira la vérité, du moins je l'espère... Ce que j'ai dis est la somple vérité, je ne vois pas pourquoi il dirait quelque chose d'autre! Je redevenais exactement comme tout à l'heure, en démon. Cette fois-ci je ne me contrôlais plus, et frappa le mur. Je fis une énorme marque. Pourquoi j'avais fait ça?! Je me calmais, et rechantais, pour oublier la haine, la tristesse.

"Raconte moi, toi, ce qu'il s'est passé ... s'il te plait" Dit kaito en s'asseyant sur le lit, et en me caressant les cheveux.
"Pas v-vraiment beaucoup de ch-chose, je suis allez t'acheté le gâteau que tu aimais beaucoup, la fôret noire, et je suis mis en route pour revenir au dortoirs, mais sans faire exprès Zatsune est tombé sur moi, et je me suis fait super mal au coude, mais j'ai cassé le gâteau en mille morceau, alors elle est allés en recherché un avec moi, et en revenant, j'ai vu du sang sur mes doigts, et je suis tombé dans les pommes. Puis elle m'a porté jusqu'à la pharmacie, ils m'ont pris et m'on mis dans la salle de derriere, Zatsune était fatigué je crois, et elle c'est mis dans le même lit que moi, puis c'est mis a me caliner amicalement je pense et après pas beaucoup de chose, ah, et ils ont enlever mon t-shirt pour me mettre mon bandage, et je crois que ils m'ont l'enlever aussi car ils croyait que j'avais tombé dans les pommes, car j'avais trop chaud."
J'ai répondu a Kaito en lui regardant dans les yeux, ils me caresser toujours les cheveux, puis je me suis assis. J'ai attrapé sa chemise et j'ai levé la tête pour mieu le voir, car Kaito était très grand, j'esperais qu'il me croyait.

J'ai sursauté un coup, car Zatsune avait frappé le mur je crois.

J'écoutais Piko, depuis que j'étais entré, il n'avait pratiquement rien dit. Il me regardait droit dans les yeux durant tout son récit. De ce que je pouvais comprendre, c'était elle qui avait profité du fait que Piko soit en mauvaise posture pour s'autorisé des choses qu'elle n'aurait pas dû. J'appris par la même occasion son nom, Zatsune, je crois bien que Miku m'avait parler de cette cousine, et qu'elle portait elle aussi le prénom "Miku". Piko se mit assit à coté de moi et me tenait par la chemise. Il avait le visage lever vers moi. Je baissais la mienne, pour coller mon front contre le sien.

- Je me suis inquiété pour toi ... Lui murmurais-je.

Si je lui avait pris la peluche, c'était un peu pour me faire pardonné d'être arrivé aussi tard, mais aussi parce que j'avais envie de lui faire plaisir. J'entendis soudain un bruit venant de dehors, quelqu'un venait de frapper violemment l'autre coté du mur. Je me doutais de l'identité de la personne, je me levais et allais voir. Comme je le pensais, c'était Zatsune. Elle se tenait pas très loin de la fenêtre et il y avait une marque d'impacte sur le mur.

- Tu sais que ce n'est pas en frappant le mur que ça arrangera quelque chose ?

Avec elle, j'avais garder mon air froid. Je m'appuyais sur le rebord de la fenêtre avec mon coude et posais mon menton sur la paume de ma main.

- Et puis maintenant que je suis là, on a plus besoin de toi, tu peux repartir

Mince! En frappant sur le mur, je n'ai pas pu entendre ce que Piko à dit! Non... Je suis bête! J'espère juste qu'il a dit la vérité... Kaito commença à parler.

- Je me suis inquiété pour toi...

Il était donc de bon coeur... Malgré tout, je devais le convaincre, car impossible, chez moi, ça n'existe pas! Je continuait à chanter, quand Kaito se leva ensuite et ouvrit la fenêtre.

- Tu sais que c'est pas en frappant le mur que ça arrangeras quelque chose?

- Je savais que j'étais bête, mais pas à ce point là!

Je continuais ensuite de chanter, quand il recommença.

- Et puis maintenant que je suis là, on a plus besoin de toi, tu peux repartir.

Il se prend pour qui? Le mec qui arrange tout en trois secondes?!

- Moi, je veux rester dis-je d'un ton sec

Je chantais ensuite une chanson où plusieurs amis se séparent. Je chante ce que je ressent. Je vis ensuite un chat, noir. Je l'appelais pour qu'il vienne. Il venait, je le prit et je le câlinais, tout en chantant.

Il a posé son front chaud sur le mien, qui m'a fait a moitié sourire. Zatsune chanté dehors, j'entendais a peine les mots, alors je ne savais pas de qu'elle chanson il s'agissait.
"Je me suis inquiété pour toi ..." Il m'a murmuré, juste avant que Zatsune avait frappé au mur, il a enlevé doucement son front, et se leva pour allez vers la fenêtre.
"Tu sais que ce n'est pas en frappant le mur que ça arrangera quelque chose ?" Dit-il d'une manière très froide, et en s'appuyant sur sa main.
"Je savais que j'étais bête, mais pas à ce point là!" Elle répondit a Kaito, aussi d'un air froid, la tention qu'il y avait était choquante, alors je restais sur le lit, mais a un momment, je me sentais obligé de me levé, pour rejoindre Kaito vers la fenêtre. Zatsune recommençait a chanté la mélodie de sa chanson.
"Et puis maintenant que je suis là, on a plus besoin de toi, tu peux repartir." Répliquait Kaito. J'ai cligné des yeux, puis je suis repartis m'asseoir sur une chaise. J'ai posé 2 doigt sur ma joue, puis Zatsune répondit :
"Moi, je veux rester." Son air sec me faisait tremblé, j'aimais pas du tout sa, alors je continué a regardé droit devant moi, fermant les yeux, puis en posant ma tête sur mes genoux, en soupirant tristement.
J'écoutait a nouveau les lyrics de la chanson de Zatsune, elle parlait d'amitié et de je ne sais quoi. J'ai tourné vers Kaito, levant les yeux pour mieux voir.
Je prié pour par qu'il continué a se disputer comme sa, sinon sa finirait avec de la violence, et sa me faisait frissoné juste a y pensé.
"S'il-vous-plait." J'ai dit en grognant a moitié, levant ma tête, faisant un air assez sérieux.
"Faites pas les gamins et, Zatsune remonte." J'ai dit en lui faisant un signe de remonter. Je voulais que tout s'arrange, car j'en avait marre de rien faire, et d'être complétement inutile dans la conversation.

Zatsune continuait de chanter, c'était une chanson sur la séparation des amis je crois. Pourquoi elle chantait cela d'ailleurs ?

- Moi, je veux rester dit-elle d'un ton sec.

Non mais je rêve, elle croit vraiment qu'elle a sa place ici ? C'était à moi d'être auprès de Piko, pas elle. Si elle avait été amie avec lui, il me l'aurait présenté, or ce n'est pas le cas. Elle chanta une autre chanson, toujours sur ce thème des amis qui se séparent. Elle avait repéré un chat, elle l'appela et le pris, en continuant de chantonner. Mais qu'est ce qu'elle faisait ? ce chat vit dans la rue, il pourrait avoir n'importe quoi comme maladie, des puces ou je ne sais quoi d'autre. Cette fille est vraiment bête.

- S'il-vous-plait. Dit Piko en grognant à moitié. Faites pas les gamins et, Zatsune remonte.

Il lui fit signe de revenir dans la pièce, mais hors de question qu'elle fasse rentrer ce chat miteux, on est dans une pharmacie, un lieu ou les animaux n'ont pas leur place. Je me dégageais de la fenêtre, empoignais la poignet et dis.

- On n'entre pas par une fenêtre comme un voleur. Tu expliqueras au pharmacien pourquoi tu es dehors.

Je fermais la fenêtre, laissant Zatsune avec "son" chat. Je m'approchais de Piko, le sac avec la peluche était à coté de lui. Je le pris et sortie le faux chaton blanc.

- Je crois que c'est celle la que tu voulais non ?

Je ne sais pas pourquoi, mais maintenant que j'étais seul, ou presque, avec Piko, je redevenais plus calme ... Je me penchais pour l'embrasser sur le front.

- Pardonne moi si je t'ai fait peur ...

J'avoue, je suis quelqu'un de très possessif. Je n'aimais pas que les gens que j'aime le plus être dans les bras, de se faire câliner ou embrasser, même amicalement, par quelqu'un d'autre ... Je l'avais dit à Piko, mais il ne m'avait jamais vu faire "une crise de possessivité".
Je levais Piko, pour le mettre debout sur la chaise, il était légèrement plus grand que moi comme ça mais au moins, ça sera pratique pour nous deux. Je plaçais ma main libre sur son visage, rapprochais le mien du sien et fini par l'embrasser, tendrement. Peut importait que Zatsune nous voit, au moins, maintenant, elle devait savoir que Piko et moi, on était ensemble.

- S'il vous plait, Faites pas les gamins, et Zatsune, remonte.

- J'arrive...

Je lâchais ensuite le petit chat noir

- Au-revoir petit chat! dis-je en souriant

Je m'apprêtais à rentrer, quand Kaito fermait la fenêtre :

- On entre pas par la fenêtre comme un voleur. Tu expliqueras au pharmacien pourquoi tu es dehors.

Je lui fis un visage perturbé avant de faire tout le tour, pour enfin arriver à la porte d'entrée de la pharmacie. J'ouvrit la porte, quand je vis Piko sur une chaise. Kaito, commençait à rapprocher son visage. Qu'est-ce qu'il va faire là? Non, il va..? Oui, il l'embrassait. Je voyais pas ça souvent! Ca m'avait un peu choquée... Je rentrais discrètement. Piko pouvait me voir, mais pas Kaito. Je me collais au mur et fis un clin d'oeil à Piko. Il continuait de s'embrasser... Je ne savais pas qu'ils étaient si proche...

«　J’arrive!　» Dit Zatsune, en essayant de remonter le mur.

«　On n'entre pas par une fenêtre comme un voleur. Tu expliqueras au pharmacien pourquoi tu es dehors.　» Dit Kaito, en attrapant le poignet d’un coup, et en le fermant a la fin de sa phrase. Il c’est approché de moi en souriant, puis m’a passé une peluche, la peluche que je voulais depuis super longtemps, là mettant dans mes mains. J’ai souris et Il a déclaré:

«　Je crois que c‘était celle là que tu voulais, non ?　» J’ai hoché la tête en le regardant, puis en le câlinant tendrement.

«　Merci Kaito-kun.　» J’ai dit en levant la tête, il y a eus un silence pour 2-3 minutes. Puis il m’a embrassé le front.

"Pardonne moi si je t'ai fait peur..." Me dit il soudainement.

"Tu me ferais jamais peur." J'ai dit en levant la tête, pour regardé dans ses yeux. J'ai souris timidement, puis Kaito a commencé a me lever, pour me mettre debout sur la chaise.

"Eh pas besoin de me porter, je suis pas un gamin." J'ai dit, puis il a posé sa main sur ma joue, c'était bizarre d'être plus grand que lui, mais je ne l'était que de 2-3 centimètres.

"Quesque tu ...?" Kaito restait muet, puis il a approché doucement sa tête vers la mienne. Puis il a posé délicatement ces lèvres sur les miens, elles étaient chaudes, et grâce a sa, mon corps se réchauffait. J'était content d'être avec Kaito, il me faisait sourire, et mon cœur battait pour lui, j’avais pas envie que cet instant se finissent. C’était parfait, c’était mon rêve. Et je voulais vraiment pas le laisser, juste a y pensé me faisait peur. De le perdre, encore plus. Je pense que c'est la définition d'aimer quelqu'un, non ? Je pense que c'est bien ça. J'ai fermé les yeux, puis j'ai posé une main sur chaque epaule, en l'embrassant tendrement. J'entendais des pas, et je crois que c'était Zatsune. Je m'enfichais si c'était un pharmacien ou n'importe qui d'autre car je voulais être avec Kaito, et pour le moment précis, j’était tellement heureux.

J’ai ouvert les yeux quelques secondes avant la fin de notre baiser pour voir Zatsune, a moitié choqué, qui me fit un clin d’œil en se collant contre le mur. Son air choqué me troublait. Je ne savais pas quoi faire. Quand on a finis notre baiser, j’ai souris, en laissant caresser son cou avec deux doigts. Puis j’ai sauté en bas de la chaise et j’ai retournée la tête vers Zatsune:

«　Quesqu‘il y a ?»

Piko me sourit lorsque je lui mis la peluche dans les mains. Cela me faisait vraiment plaisir. Il leva ensuite la tête et me remercia. C'était normal pour moi de faire des cadeaux aux personnes que j'aime. Je n'avais pas besoin d'une fête pour le faire.

- Tu me ferais jamais peur. Me dit-il en me regardant dans les yeux.

J'en doutais un peu ... là j'avais été assez "gentil", j'aurais pu me montré plus "violent" mais je ne frappais pas les filles, ce n'est pas mon genre. J’espérais de tous mon coeur qu'il ne me verrait jamais perdre le contrôle, on m'avait dit que je pouvais vraiment faire peur.

- Eh pas besoin de me porter, je suis pas un gamin.

Je le savais que ce n'était pas un gamin, si je n'étais autorisé à le porter comme ça, alors que je sais qu'il n'aime pas ça, c'est uniquement parce qu'on était juste tout les deux. Sinon, je ne l'aurais pas fait. Avant de commencer à l'embrasser, je le sentais encore frissonner un peu, mais au fur et à mesure, il semblait se "réchauffer". Cela me faisait doucement sourire. Il posa ses mains sur mes épaules, tout en continuant notre baiser.
J'entendais des pas, des chaussures féminins, Zatsunes ? Peu importait, je voulais profité un peu de Piko, avoir un petit moment rien qu'à nous deux.
A la fin de notre baiser, Piko me caressa la nuque, en souriant, ça me réchauffait le coeur et me calmait en même temps. Il descendit de la chaise et se tourna vers Zatsune. Elle n'allait donc pas nous lâcher ?

- Quesqu‘il y a ? Lui demanda Piko.

Elle avait l'air choqué. Choquer de quoi ? De voir deux hommes s'embrasser ? Je ne voyais pas le problème, on s'aimait et elle aurait du comprendre dès le début que l'on était ensemble. Je ne comptais pas rester dans cette pièce, elle m'oppressait à vrai dire. Je pris Piko par la main, après avoir mis la boite contenant le gâteau dans le sac, et sortie de la pièce. Arrivé à l'avant de la pharmacie, je me rappela qu'il fallait que je refasse l'armoire a pharmacie de l'appartement, il ne me manquait pas grand chose, mais si je ne le faisais pas maintenant, j'aurais trop à acheter la prochaine fois. Et puis autant en profité, maintenant que je suis là.
Ils me demandèrent qui allait payer pour les soins donner a Piko, étant donné que c'était Zatsune qui l'avait emmener, c'était à elle de payer non ? Si c'est elle qui paye, peut être qu'elle remontera dans mon estime.
Je sortis, toujours en tenant Piko par la main. Il faisait doux en cette fin de journée. J'avais envie d'une glace, mais j'étais aussi un peu a sec maintenant ...

Après que Piko me remarquait, il me demanda :

- Qu'est qu'il y'a?

- Je n'ai rien dit. Ca me choquait un peu de voir deux garçons s'embrasser, mais je n'ai jamais dis que ça me gênais... dis-je en reprenant mes esprits et en me calmant.

Après ça, Kaito semblait pressé de partir. Je savait qu'il ne m'aimait pas, mais comme même... Il rangea le gâteau dans son sac, pris le bras de Piko et parti, après avoir pris quelques médicaments. Je voulais les suivre, mais Kaito n'avais pas payer. J'ai couru en posant la quantité sur la table dans mon élan. Je sortais du magasin en courant.

- Kaito! Attend!!

Je le rattrapais et lui dis

- J'avais promis à Piko de lui acheté à manger! Il mourrait de faim! Je paie ton repas si tu veux...

"Je n'ai rien dit. Ca me choquait un peu de voir deux garçons s'embrasser, mais je n'ai jamais dis que ça me gênais..." Dit elle. Je-j'etait gênais apres se qu'elle a dit. Ça choqué ? Ce ne m'avais jamais choqué de voir de hommes s'embrasser. Bon sa peut pas vraiment me choquer, car j'aime embrasser un homme un petit peu plus que embrasser une femme. C'etait une sensation differente pratiqurment.
"Ah." J'ai dit en descendant la tête et en attrapant le bout de la chemise a Kaito. Il a attrapé mon bras gauche, celui qui n'etait pas blessé et il m'a tiré pour sortir de la pharmacie, il etait aussi préssé que sa ? Ah. Il avait dit a la pharmacienne que sa serait a Miku Zatsune de payé, et il a acheté pleins de trucs pour sa boite a pharmacie chez lui. Je me suis decidais aussi d'avoir toujours une boite sur moi aussi, dans un sac ou n'importe autre choses, alors j'en ai acheter une. On est sortis du magasin, j'ai entendu une personne nous courir apres, alors j'ai tourné la tete pour voir Zatsune.
"Kaito ! Attend !" Elle nous a rattrapée et elle s'exclama :"J'avais promis a Piko à lui acheté a manger! Il mourrait de faim! Je paie ton repas si tu veut..." Ah oui, avec tout cette dispute et se chamboulement, j'avais oublié que j'avais très faim, et j'avais aperçu Kaito regardait le marchand de glace, nya, je voyais qu'il en avait envie.
"Ah oui ! Je connais un restaurant super bon dans le coin." J'ai dit en lui montrant du doigt la direction où etait le restaurant. Kaito avait pas très l'air d'avoir envie d'y allez.
"Roooh, fais pas cette tête, et vien." J'ai dit en lui tirant la main.

La réponse que Zatsune donna confirma ce que je pensais, c'était de voir deux garçons s'embrasser qui la choquait. Où était le mal ? Je ne comprendrais jamais ce genre de personne. Piko s'acheta une petite trousse pharmaceutique qu'il pourrait toujours avoir sur lui. Lorsque l'on sortit, j'entendis mon nom:

- Kaito! Attend!!. C'était Zatsune qui nous avait rejoint. J'avais promis à Piko de lui acheté à manger! Il mourrait de faim! Je paie ton repas si tu veux...

Mais elle n'allait donc pas nous lâcher ? J'aurais pu passer un peu de temps seul avec Piko si elle n'était pas là. Je n'avais absolument pas envie de dîner en sa compagnie.

- Ah oui ! Je connais un restaurant super bon dans le coin. répondit Piko en montrant un restaurant pas très loin.

A quoi est-ce qu'il jouait ? Vraiment sur le coup, je ne le comprenais vraiment pas.

- Roooh, fais pas cette tête, et viens.

Il m'entraîna vers le restaurant. Bon, en même temps, je n'allais pas le laisser seul avec Zatsune, ça c'était hors de question. On s'installa sur la terrasse extérieur, il faisait bon, autant rester dehors. Je m'étais assis à coté de Piko, Zatsune était en face de lui. Piko passa commande, je ne pris rien, même pas de glace. En attendant que le plat de Piko arrive, le mis ma main sur sa cuisse et la caressait. Je le regardais en souriant, de ce sourire dont tout le monde avait l'habitude, même s'il y plus de tendresse en se moment. Je surveillais les réactions de Zatsune du coin de l'oeil. Quand je détournais les yeux vers elle, c'était pour lui lancé des regards noirs.