Il me plaqua sur le bureau, passant sa main dans mes cheveux, je voyais ses yeux à la fois plein de désir mais de tristesse, je ne savais pas quoi faire.
Il m'embrassa dans le cou il avait trouvé mon point faible, je n'ai pas pu m'empêcher de gémir lorsqu'il le fit... Qu'est ce que je devais faire ? Le repousser ? Je me sentais tellement bien dans ses bras... Je sentais son souffle contre mon cou et j'ai retenu ma respiration... Il me mordilla l'oreille.
Ma poitrine me faisait mal...

Je continua de l'embrasser dans le cou, vu que j'entendis que cela lui plaisait bien. Elle était couchée sur le bureau, je passa ma main sur l'extérieur de sa cuisse gauche, tout en la léchant langoureusement sur la jugulaire. Je la massait tendrement, elle avait la peau si douce, je remontais légèrement sa jupe pour la palper délicatement, mais tout en n'étant pas trop brusque.

Il faisait tout avec douceur, sans me faire mal et en essayant de me plaire, rien n'était brusque ou écoeurant, j'en voulais toujours un peu plus... Son parfum m'enivrait, ses mains et chaque caresses avaient l'effet d'une vague de chaleur qui m'enveloppait .
Je le serrait finalement, sentant le chaud de son corps, j'avais l'impression d'être glacée comparée à lui...

-Embrassez moi s'il vous plaît... lui murmurai-je

Je sentis qu'elle en voulait plus encore. Elle se plaqua contre moi, je sentis son pouls battre la chamade. Mes battements étaient en symbioses parfaites avec elle. Dans un murmure, d'une voix somptueuse, elle me dit:

"-Embrassez moi s'il vous plaît..."

J'exécuta son souhait et l'embrassa fougueusement. Je n'avais jamais embrassé un jeune femme comme cela! J'adorai sentir le contacte de ses lèvres sur les miennes, ainsi que sa langue dans ma bouche et la mienne dans la sien!

Il m'embrassa, je sentais ses battements de coeur contre ma poitrine.
A la fin de notre baiser, je suffoquais et j'avais mal à ma poitrine... J'avais de plus en plus chaud....

Pour les rafraîchire, je l'embrassa dans son cou, je mis ma main sur un de ses sein et je commença à la masser. Cela m'exitai. J'avais de plus en plus envie d'elle. Il y avait comme quelque chose qui m'attirais à elle. Je débouttonna le premier boutton de sa chemise qui fis apparaître un peu plus sa belle poitrine, j'enfouillis ma tête dedans.

Elle s'allongea entièrement sur le bureau, à ce moment, je compris que j'avais le champs libre. Je me mis à califourchon sur elle, je plaqua ses mains sur le mobilier et l'embrassa à suffoquer. Je tendis ma bouche jusqu'à son oreille et je lui dis;
"Si je te fais mal, préviens moi!"
Je déboutonnas son chemisier, tout en continuent de l'embrasser. Quand j'eu fini de la déboutonner, je vis sa peau si douce que je ne pus m'empêcher de la caresser.

Elle déboutonna ma chemise tout en m'embrassant, ce qui me fit des frissons de bonheur. Elle décrocha un bouton après l'autre, délicatement, elle prenait son temps ce qui me plaisait beaucoup. Je ne pouvait pas m'empêcher de caresser ses cheveux . Quand Tei fut arriver à l’extrémité de ma chemise, je la retourna sur le bureau et jeta sa chemisette dans un recoin de la salle. Je lui retira délicatement sa jupe qui lui allait à ravir, tout en l'embrassant fougueusement.