Douce nuit. En ce soir, j'avançais sans rien dire. Las de tout ça. La vie m'énervait au plus haut point, j'avais besoin de changement. M'évader, oublier tout ça. Alors que faire ? Rien de plus simple, aller en boite de nuit, me défouler un peu, mais surtout... Boire. Noyer toute cette lassitude dans un bon verre de jus de raison macéré et vieillis dans un bon fut, ou alors simplement dans une boisson fermenté. J'entrais facilement dans cette boite de nuit pour alors m'avancer vers la piste. Au final, il y avait trop de monde, alors je déviais de ma trajectoire de départ pour alors aller au bar et me poser sur une chaise sans faire attention à ma voisine.

« Serveur... Un whisky s'il vous plait... »

Par la suite, j'attendais, posant mes coudes sur la table, mes mains se mirent par la suite à encadrer mon visage, l'air perdu, les yeux posés sur le comptoir. Je rêvais, je m'abandonnais à la musique et à l'ennui... Si seulement je trouvais enfin la lumière qui me changerait de cette vie ennuyante...

Haku était malheureuse, stressé, et seule. Elle vient juste de déménager d’une ville qui lui plaisait tant, pour finir dans cet endroit, qu’elle n’aimait pas, il faisait tellement sombre, et Haku, n’avait pas l’air de s’amusé ici, juste a marché dans les rues, se faire bousculer par des gamins, acheté se qu’il fallait, puis repartir, lentement, chez elle. C’était sa nouvelle vie a un lycée, qu’elle n’aimait guerre.

«　Pourquoi je suis ici…　» Elle chuchotait, maintenant, la scène se plaçait dans une boite de nuit, devant le bar, pour être précis, avec Haku sur une chaise, sa tête dans sa main, avec une biere dans sa main gauche. Elle se plaignait de beaucoup de choses, dans sa tête. Elle n’avait pas pus faire connaissances c’est derniers temps. Mais chaque fois que elle avait un temps libres, elle le passait dans le bar, buvant juste a en être saoul, buvant ses mémoires, ses sentiments et tout autres choses qui était dans son cœur. Personne se mettait à côté d’Haku, les jours où elle restait figés, assis sur une chaise, ouvrant la bouche pratiquement que pour chuchoter ses craintes, ou pour demandé un 2^ème, 3^ème ou même 4^ème verre. Tellement qu’elle était noyée dans ses plus profonds pensées, personnes, personnes osés s’approchait de cette fille, qui buvait ses sentiments.

Soudainement, elle vit un homme, qui c’est assis à côté de Haku. Elle a tourné la tête pour mieux le voir. Un homme, avec une belle apparence, des cheveux noirs, et des yeux bleus marin. Haku sourit, puis c’est replongé dans ces pensés.

«　Serveur…Un whisky s’il vous plait…　»

Elle a retourné la tête, cet fois si pour mieux le regardé, pour essayé de le lire. Haku a vite aperçu que, l’homme aussi, n’était point joyeux, il était aussi entrain de recherché quelque chose dans ces pensés, tout comme Yowane Haku.

« Que fait un homme comme vous, ici, entrain de boire vos pensées ?　»

Avoir mal. Un des propres de la vie. On se lève, on sourit, la vie continu, puis au fond, tout se casse. Telle est la vie. Soit un est aimé, soit on souffre. Pour ma part, je ne faisais que faire partit de la seconde catégorie, celle condamné à souffrir de son propre malheur, mais au fond, la chose la plus étonnante est que jamais ô grand dieux jamais, je ne me plaignais de la situation. Jusqu'à ce jour, je ne m'étais pas mis sur un trottoir à faire lomone en criant ma misère. D'ailleurs, si même c'était le cas, jamais je ne finirais sur le trottoir à me plaindre. Au pire, je regarderais les gens passer, me juger avec leurs regards mauvais, malsains, puis basta...
Assis sur ma chaise, je réfléchissais, attendant ma boisson vide tête... Boisson qui au bout de la quatrième semblable allait n'emmener dans un endroit fort distrayant. Au mieux je ferais un coma puis je finirais à l'hôpital avec une piqure au bras, puis la vie repartira. Drôle de vie n'est-ce pas ?
Soudain, alors que l'endroit est bruyant, une voix me vient aux tympans. Une voix qui comme la mienne, laisse retranscrire une sorte de mélancolie perpétuelle, un malheur similaire au mien.
Je détourne alors les yeux pour tomber nez à nez face à deux yeux rubis écarlate. Des pierres précieuses qui me pourfendent, un regard interrogatif. Une demoiselle à la crinière blanche comme la neige, signe de pureté. Je l'admire, sans pour autant abaisser les yeux pour voir le décolleté offert, puis je soupire rebaissant la tête.

" Est-ce si intriguant que ça ? Au fond qu'on soit un homme jeune, vieux, ou une femme vieille ou resplendissante de jeunesse, quelle importance.. Chacun ressent un jour de la souffrance, je ne fait pas exception.... Voilà ce qui me fait boire mes pensées... »

Le serveur au passage dépose ma boisson, prenant aussi la monnaie si gentiment tendu avant. Je soupire puis bois une gorgée de ce liquide brûlant.. Liquide qui brûlait ma gorge malgré les glaçons. Je reregardais la demoiselle pour alors sourire.

«  Et vous ? Oh... Pardonnez mes manières... Taito... Taito Shion... »

" Est-ce si intriguant que ça ? Au fond qu'on soit un homme jeune, vieux, ou une femme vieille ou resplendissante de jeunesse, quelle importance.. Chacun ressent un jour de la souffrance, je ne fait pas exception.... Voilà ce qui me fait boire mes pensées... "
Il répondit a Haku, son regard assé souffrant, c'est ce qui l'intrigait, elle voulait savoir a quoi il pensé, et pourquoi il était malheureux, tout comme elle. Avant de répondre avec cette citation très belle, il avait l'air de regardé Haku, en admirant sont physique.
"Et vous ? Oh... Pardonnez mes manières... Taito... Taito Shion."
Elle sourit en regardant dans les yeux de l'homme nommé Taito, en relevant sa tête, doucement. Mettant sa main devant Taito, comme pour lui demandez de lui serré la main :
"Haku Yowane. Enchanté Taito." Dit elle en essayant de sourire aimablement. Pourquoi crée une ambiance déprimante, alors que c'est possible de faire une fausse ambiance joyeuse ? Mademoiselle Yowane preferait être joyeuse. Elle a bu un coup. Avant de reposer la bouteille, sur la table, et d'en commandé un nouveau.
"Une 2eme s'il-vous-plait. Et donnez une deuxieme tournée a ce jeune homme. Je vais payé après." Dit elle avec une voix douce, regardant le serveur dans les yeux, après, elle c'est rendu compte que le serveur, lui ne la regardé pas dans les yeux. Il avait posé son regard sur sa poitrine. Elle ne dit rien, car elle ne voulait pas crée a nouveau cette ambiance déprimante. Elle voulait continué a parlé a cet homme, qui avait l'air d'etre tout a fait comme Haku

Douce soirée. En présence d'une semblable désormais. Visiblement, nous étions similaires, ou alors je me faisais des idées stupides. Je voulais faire connaissance, mais avant toute chose, les présentations s'imposent. Je lui avais donc dit mon nom pour la voir tendre sa main tout en me disant son nom. Sa main était de la même taille que la mienne. Des petits doigts tout fin formant cette main. Ses ongles étaient de couleur violet, sûrement un vernis, qui d'ailleurs, allait très bien avec son ruban. Je lui souris pour alors enlacer cette main et déposer un baiser dessus, tel un gentleman se voulant être ce qu'il est. Je l'entendis commander une autre tournée. Ah... Une demoiselle qui paie, j'ai horreur de cela, ce n'est pas très... Polis. Je soupirais pour déposer discrètement l'argent sur la table, mais le serveur était occupé à regarder les atouts de la demoiselle, s'attardant dessus. Je ne disais rien, même si cela m'énervait intérieurement... Ne pouvions nous pas regarder quelqu'un comme il est pour admirer la beauté normalement ?

" Très joli nom... Haku..."

Je lui souris afin de voir ses lèvres s'étirer. Elle comme moi, nous semblions souffrant, mais je n'osais pas poser les questions. Au fond, elle devrait le faire, car c'est elle quia engagé la conversation non ? Je rougis un très bref instant, mais la lueur des lumières de ce lieu cache ces rougeurs. Je la regarde, me plongeant dans ces yeux divinement rouge sang, puis rebois une gorgée de mon whisky le finissant d'un trait pour commencer à boire la tournée de la demoiselle payé en douce par mes soins.

" Que fait une demoiselle comme toi ici ? Est-ce que ? ..."

Je n'osais pas trop en parler, mais au fond, on allait se comprendre, j'en étais certain.

«　Très Joli nom… Haku…　» Dit-il a Haku, elle, plongé dans ses pensé en regardant ses très beaux. Elle avait pas envie de le quitté de son regard, elle admirait sa beauté. Haku ne faisait vraiment que rarement sa, elle n’a que admiré 1-2 personnes dans sa vie. Son compliment la fit rougir, et elle a baissé les yeux, pour regardé le sol, cause de timidité.

Yowane l’avait pas remarqué mettre l’argent sur la table, elle continuait de boire la 2^ème bouteilles de la soirée, elle soupirait doucement plusieurs fois avant de reposé son regard sur Taito.

«　Que fait une demoiselle comme toi ici ? Est-ce-que? …　»

Yowane n’avait pas une envie d’en parlé de ses regrets et de son passé dans la vielle ville où elle habité avant, enfaite, son passé, seule, sans aucune liberté pour allé exploré la belle ville de ____. L’unique et le seul personne qui voulait la parlé, et qui l’a connaissait vraiment était son premier amour, que elle a du quitter, en déménagent de sa ville. Taito, lui ressemblé tellement. Il avait les même cheveux que lui, les mêmes yeux, il avait tout les deux le même physique, et la même posture, et juste en le regardant, elle se rappelé des souvenirs.

«　Moi ? Moi je suis ici, car… Je m’ennuie.　» Dit-elle en rigolant a moitié, avant de reboire un coup, puis en reposant la bouteille sur le bar. Haku voulait pas lui dire se qu’elle avait sur le cœur et en plus elle veut pas faire un monologue. Elle le connaissait a peine.

La soirée ennuyeuse devenait intéressante. Pour plusieurs raisons. J'avais perdu cette solitude, discutant avec une personne que je pensais pouvoir considérer comme mon amie. Du moins, bientôt. Après tout, le courant semble bien passer. J'admirais ses yeux, alors qu'elle les baissait suite à mes mots. Timide ? Non, il n'y avait pas que ça. Alors qu'elle relevait son visage, ses mèches bougeant doucement dans l'air, je lui souris pour alors l'entendre dire une phrase à la va-vite. Elle en rigolait, mais il y a des gestes qui trompent pas. Comme le sourire, crispé, elle me cachait quelque chose, c'était évident. Tout comme moi, elle avait mal au coeur, je le voyais, je le comprenais. C'est donc assoiffé que je bu d'un trait mon autre verre pour alors lui dire regardant devant moi pour ne pas éventuellement la gêner.

" Tu as mal n'est-ce pas ? La vie t'a arraché ce que tu avais de cher non ?"

Je détournais les yeux vers elle, attendant de voir. Au fond, on pouvait passer aux confessions... Entre amie de buverie. Puis au pire, nous ferions mieux de nous bourrer la poire puis discuter sans s'en rendre compte. Je réfléchissais doucement pour alors laisser naturellement venir cette étincelle qui prouvait que elle et moi, nous souffriont de la même chose. Souriant légèrement, je lui murmurais.

" Veux tu en parler ailleurs ? Dehors ? Je ne te force pas..."

J'avançais mon verre, commandant une troisième bouteille, après tout, jamais deux sans trois...

" Tu as mal n'est-ce pas ? La vie t'a arraché ce que tu avais de cher non ?" Haku était surprise de se que Taito a dit, il avait juste. Quelqu'un était vraiment arraché a cause de la vie. Haku posa son coude sur le bar puis elle a posé sa tête dans sa main, elle voulait pas parlé de ses ennuis, elle etait plutot de genre qui aimait ecouté les personnes, que de parlé, elle a bus a nouveau une gorgé de sa boisson, avant de reposer la bouteille sur le bar, j'ai replacé mes cheveux correctement, en serrant un peu plus mon noeud.
"Veux tu en parler ailleurs ? Dehors ? Je ne te force pas... " Dit Taito en demandant une nouvelle bouteille pour Haku, qui avait pratiqument finis sa 2eme.
"Mon histoire n'est pas interessante. Mais je veut bien ecouté la votre." Dit elle avec un sourire assez heureux. Elle c'est rendu compte qu'elle n'etait pas la seule a avoir des problèmes dans la vies, elle a soudainement approché sa tête vers la sienne. Pour lui dire :
"J'aime beaucoup écouté les personnes. Peut tu m'en parlé ? Veut tu allé dehors ?" Dit elle avec un gentil sourire, puis elle c'est levée et elle a attrapé la bouteille.

Nous étions là, en train de boire. Décidément, plus le temps passait, plus nous perdions la boule, du moins, façon de parler. J'admirais toujours la demoiselle qui ne cachait pas une sorte de timidité, une gêne au fat que je lui propose de parler de ses soucis. Mais bien vite, je me rendis compte que au final, elle préférait faire la confidente qu'être celle qui se confit. Quoi de plus normal. Je rougit fortement quand son visage s'approchait du mien pour insister un peu plus. Décidément, même après avoir bu, elle sentait bon, il fallait dire ce qu'il était... Je la laissais faire, la voyant se lever, son corps mis en évidence désormais. Je la suivis, prenant la bouteille que j'avais commandé pour elle et moi, puis nous partîmes dehors, dans la ruelle qui était déjà plus calme. Je marchais près d'elle pour alors parler de moi. Comme prévu.

«  Mon histoire n'est pas hyper drôle mais bon... Bref, j'étais seul, comme toute personne au départ d'une vie, puis un jour j'ai rencontré cette demoiselle... Quelqu'un qui m'a sauvé un soir, puis bah.... On a eu comme le coup de foudre, malheureusement, cela ne dur pas... On est électrifié, puis au final, on se rend compte que ce n'était qu'une tendance... Bref... Suite à cette séparation qui fut ma première et plus douloureuse, j'aime aimé une autre, mais étant déjà prise, malgré son intérêt que nous nous portions... J'ai préféré mettre de la distance, car nous allions nous brûler mutuellement les ailes... Alors au lieu de lui brûler les siennes, autant prendre pour deux...
Bref, suite à cela, j'ai compris que le coeur et les sentiments... C'est visiblement pas fait pour moi... Mais je vie avec, après tout, ce qui ne tue pas nous rend plus fort non ? »

Le regard vitreux, j'étais triste oui. Je lui montrais encore et toujours. Mes yeux luisaient grâce à la lune qui brillait dans le ciel, j'admirais ses cheveux d'un blanc immaculé. Ils chatouillaient parfois mon visage, sa queue de cheval venant parfois fouetter mon visage. Je respirais son odeur... Enivrante, je buvais encore pour alors lui tendre la bouteille qui à la base est pour nous et non moi tout seul...

Le visage de Taito devenais rouge écarlate, quand la jeune Haku c'est rapproché de lui. Quand les deux ce sont levés, ils sont sortit dehors, rechauffé grâce a l'alcool qu'ils buvait, brûlant leurs gorges.
« Mon histoire n'est pas hyper drôle mais bon... Bref, j'étais seul, comme toute personne au départ d'une vie, puis un jour j'ai rencontré cette demoiselle... Quelqu'un qui m'a sauvé un soir, puis bah.... On a eu comme le coup de foudre, malheureusement, cela ne dur pas... On est électrifié, puis au final, on se rend compte que ce n'était qu'une tendance... Bref... Suite à cette séparation qui fut ma première et plus douloureuse, j'aime aimé une autre, mais étant déjà prise, malgré son intérêt que nous nous portions... J'ai préféré mettre de la distance, car nous allions nous brûler mutuellement les ailes... Alors au lieu de lui brûler les siennes, autant prendre pour deux...
Bref, suite à cela, j'ai compris que le coeur et les sentiments... C'est visiblement pas fait pour moi... Mais je vie avec, après tout, ce qui ne tue pas nous rend plus fort non ? »
Elle était triste pour lui. L'air de Taito, lui rendait triste, pourquoi un homme si bon, et si beau, c'est fait rejeté tellement de fois? Peut être qu'il y avait un problème, mais Haku se sentait mal, si mal pour lui.
"C'est exacte, mais pourquoi vous vous fêtes tellement rejeté? Es-qu'il y avait un problème dans votre relation ?" Dit elle pour essayé d'en savoir plus, avant d'avoir attrapé la bouteille que Taito avait tendu a Haku, pour en boire quelques gorgés.

La nuit laissait la lune éclairer nos pas. Nous marchions pendant que je me confessais à la belle demoiselle. Haku et moi, seul dans la rue. Je me dévoilais à elle, lui avouant mes histoires de coeur. Ma douleur, mon secret. Sans remords, juste je montrais ma tristesse chose rare. Je lui avouais que j'avais mal. Je regardais ses yeux et cru apercevoir de la tristesse aussi. De la compassion à en mourir. Décidément, elle m'intriguait. Je lui répondis doucement à sa question.

«  Je ne sais pas... Peut-être suis-je trop gentil, pas assez... Trop doux, pas assez... Ou bien peut-être trop possessif ou encore pas assez... Jusqu'à ce jour je n'ai jamais su, mais bon, la vie est ainsi parfois... Certains doivent souffrir le martyre de leur naissance à leur mort... D'après toi Haku... Que sommes nous nous ? Des gens tristes en l'attente de bonheur sachant qu'il arrivera... Nous des martyres ? »

Je la regardais dans les yeux pour alors prendre doucement la bouteille, restant ainsi, ma main posé sur la sienne, prenant la bouteille sans lui arracher, gardant un contact avec sa main. Mon regard plongé dans le sien, je n'arrivais plus à m'en séparer. Que faire ? Que dire ? Là était la question. Un frisson me parcourait tout entier. Sûrement sa main et la mienne...

« Je ne sais pas... Peut-être suis-je trop gentil, pas assez... Trop doux, pas assez... Ou bien peut-être trop possessif ou encore pas assez... Jusqu'à ce jour je n'ai jamais su, mais bon, la vie est ainsi parfois... Certains doivent souffrir le martyre de leur naissance à leur mort... D'après toi Haku... Que sommes nous nous ? Des gens tristes en l'attente de bonheur sachant qu'il arrivera... Nous des martyres ? »

Haku ne savait pas trop quoi répondre, elle le regardait, puis quand Taito voulait lui prendre la bouteille des mains, doucement sans l'arraché, Il fut un contact, assez bref, mais Haku a sursauté a ce touché. Taito avait posé sa main sur la sienne. Elle a sourit pour quelques secondes, en rougissant un peu. Elle ne c'est jamais senti heureuse depuis un petit bout de temps. Elle était toujours malheureuse ou jamais satisfaites de la vie, alors elle est resté silencieuse quelques secondes et enfin lui a répondu :

"On est des personnes qui cherchent quelques chose depuis toujours. Quelque chose qui est si fort et si beau que, ils disent que les personnes comme nous le trouverons jamais. Nous, les malheureux enfants essayant de nous echapés de ce monde noir et blanc dans nos pensés. Je crois que l'on trouvera un jour notre bonheur quelques part. Qu'il soit là, ici, ou vraiment n'importe où, je suis sûre et certaine que on le trouvera."

Son sourire fut magnifique a la fin de sa phrase, Haku avait l'air déterminé, et c'est grâce a sa qu'elle a sourit.

La soirée devenait autre. Nous marchions tranquillement, tel deux êtres perdus dans ce monde noir et blanc. Pour ma part, j'étais heureux et malheureux comme la demoiselle sûrement. Je sentais la demoiselle être surprise quand nos mains se rencontrèrent. Je la comprenais un peu, puis je l'écoutais parler. Ses paroles étant très philosophique.

"On est des personnes qui cherchent quelques chose depuis toujours. Quelque chose qui est si fort et si beau que, ils disent que les personnes comme nous le trouverons jamais. Nous, les malheureux enfants essayant de nous echapés de ce monde noir et blanc dans nos pensés. Je crois que l'on trouvera un jour notre bonheur quelques part. Qu'il soit là, ici, ou vraiment n'importe où, je suis sûre et certaine que on le trouvera."

Ses mots étaient poésie, passion, vérité. Je ne savais pas trop comment répondre sur ce coup. Elle avait raison. Alors doucement, je m'approchais pour lui dire doucement à l'oreille.

«  Tu as tout compris... Toi et moi sommes semblable... On se comprend visiblement. Comme toi je suis sûr qu'on trouvera ce qu'on cherche... Ce qu'on désire ici le plus au monde... Là... »

Ma main frôlait doucement son coeur, espérant que le message passe facilement. Que cherchions nous ? L'amour qui restera encré ici à jamais. Pas une histoire d'un soir non... Un amour, un sentiment véritable. Du réconfort. Doucement; mon visage vint embrasser la joue de la demoiselle pour alors lui sourire et continuer notre marche.

« Tu as tout compris... Toi et moi sommes semblable... On se comprend visiblement. Comme toi je suis sûr qu'on trouvera ce qu'on cherche... Ce qu'on désire ici le plus au monde... Là... »



Haku rougis à ces mots poétiques, il n'avait pas l'air de lire un texte qu'il a appris et répété a tant d'autres filles, Haku avait l'air d'avoir confiance en Taito, il l'a embrassé doucement la joue, posant ses lèvres chaudes sur la peau de Haku, la laissant soupiré joyeusement, souriant, rougissant de plus bel, avant de prendre avec sa main gauche son bras, un air innocent c'est montré tout de suite après. Hochant sa tête, comprenant ce que Taito disait, elle l'a tiré jusqu'à trouvé un banc dans un parc situé tout près de la boite de nuit, Haku marchait un peu de travers à cause de l'alcool que elle a bus. S'asseyant après les quelques secondes de marches, tirant Taito par le poignet, avec l'irrésistible envie de lui prendre la main. Haku a bus encore quelques gorgés d'alcool avant de dire : "Tu crois que ce qu'on désire le plus au monde était, là, ici?" Elle était a moitié fatigué a cause de la boisson qu'elle buvait, ses yeux se fermait doucement, mais elle les a ré ouverts, pour ne pas s'endormir stupidement, et elle voulait pas gâché ce moment qu'elle attendait depuis un peu de temps.

"Peut-être ce que je cherche..." Elle c'est retourné vers lui pour le parlé yeux dans les yeux. Souriant doucement, un air timide; le vent c'est un peu levé, qui faisait volé ses doux cheveux blancs/gris dans la brise de la nuit, ces yeux brillait avec la lumière de la lune:

"Est..." dit-elle, avant de s'endormir doucement, finissant la tête sur les genoux de Taito.

La nuit est duce avec Haku. Je me sent comme délesté d'un poids, mais je n'arrive pas à dire lequel. La solitude ? Boarf... Je souris à la belle qui semble timide sur un coup puis je la regarde me prendre le bras pour m'emmener dans un parc. Elle et moi, nous étions seul. Terriblement seul et heureusement. Ses mots se faisaient entendre, elle bu un peu plus d'alcool, se condamnant à dormir. Puis vint le moment où ses mots se firent entendre, ou du moins presque tous. Je rattrapais son visage qui tombais sur moi puis je la déposais sur mes genoux. Soupirant doucement.

«  Je suis là.... Dort jeune ange tombé du ciel.... »

Souriant, je caressais sa joue pour alors prendre la bouteille, buvant au passage. Je soufflais, regardant ses lèvres avec passion. Quel goût avaient-elles ? Je ne savais pas et ne le saurais sûrement jamais. Je passais mon index dessus puis je la serrais contre moi doucement alors qu'elle dormait encore. Respirant son parfum, je chantonnais un air, laissant quelques mots fuir mes lèvres.

«  Un ange qu'un mortel chérira s'il le peux et si tu le veux... Une personne qui aura le plus fabuleux de mes trésor... Mon amour... J'effacerais ce poids que l'on a … «